Martin Luther-King à dit un jour: « Ce n'est pas nous qui faisons l'histoire. C'est l'histoire qui nous fait. » Ici, à nom de la ville, petite bourgade de Caroline du Nord, l'histoire n'a pas avancé au même rythme que dans le reste du pays. Le racisme, les humiliations, l'homophobie et le rejet sont encore bien trop présent et les habitants se battent encore pour que justice et égalité prennent le dessus sur le pouvoir et la violence.
Vivre à nom de la ville est en apparence une situation tranquille, les voisins se saluent, tous le monde connaît tous le monde. C'est un cadre idyllique digne d'un téléfilm voir d'un épisode de série pour les mères aux foyers, mais dans les coulisses de la perfection, chacun mène un combat qui pourrait bien changer le cours des choses au cœur de la petite ville américaine.

Adélaïde Grimshaw est la gérante du blog de la ville, chaque habitant à son propre identifiant et sa propre histoire, elle, elle sait tout de tout le monde et se bat pour que chacun soit entendu. Les combats des habitants de nom de la ville sont divers, plus ou moins ambitieux mais on tous un point commun. La douleur. Qu'ils aient été victimes de racisme, d'homophobie, d'humiliation, d'intimidation, de critiques, d'injustice ou de rejet social, ils ont leurs mots à dire. Encore à la vieille école, les natifs de nom de la ville ne laissent pas la place à la différence et l'intolérance ici est à un niveau bien trop élevé. On ferme les yeux sur les mauvais traitements qu'on aperçois, on créer des groupes. En façade tous le monde est amis, mais en y regardant de plus près, Martha est mise à l'écart parce-qu'elle est hyspanique, Jonah est moqué de ses camarades de classe car il est en surpoids, Alizée entend les pires rumeurs à son propos car elle est jalousée, Noah est frappée et harcelé car il préfère les hommes aux femmes.

Nous avons tous connus une forme de harcèlement dans notre vie, qu'importe la raison. Là est le but d'Adélaïde Grimshaw, faire entendre ces personnes qui sont détruites et anéantis par ceux qui se croient au dessus de tout. Elle recueille des témoignages dans toute la ville et lance des actions pour changer tout ça. Changer la vision trop étroite des habitants de nom de la ville car non, ce n'est pas parce-que tu es noir que tu ne peux pas te présenter à l'élection du maire, non ce n'est pas parce-que tu es enrobée que tu ne peux pas devenir miss nom de la ville, non ce n'est pas parce-que les gens disent de toi que tu es une erreur de la nature que c'est le cas.


La machine infernale est lancée, tandis que la blogueuse brise l'image de perfection de nom de la ville, chacun tente de son côté de se faire entendre et d'atteindre son objectif personnel. En parallèle, des groupes se forment pour combattre la même cause, il y'a ceux qui veulent que ça change, ceux qui ne souhaitent pas se mêler de cette guerre sociale qui voit le jour et ceux qui se donnent corps et âmes pour que rien ne change. Par la violence ou de façon pacifique, tous sont prêt à tout pour faire entendre leur voix et changer leur avenir en un futur plus prometteur.